vendredi 28 mars 2014

Chongqing - Chine - Les premiers jours


 
Alors que le soleil faisait de nouveau son apparition à Hong Kong, nous partons pour Chongqing. C'est un ciel gris opaque qui nous accueille en ce samedi 15 février. Nous n’apercevons rien de la ville vue du ciel.  Nous voilà arrivées pour cinq mois à Chongqing, surnommée « la capital du brouillard » ou encore en été « la fournaise de la chine » ! 
 
L’air est un peu saturé, mas ce n’est pas aussi étouffant qu’à Bangkok. Le froid y est bien pour quelque chose mais ça ne saurait durer. L'une des villes à la plus forte croissance du sud-ouest de la Chine apparaît tristement terne et sale d'après les quartiers que nous traversons.
 
 
Nous faisons face à un vrai choc culturel et malheureusement personne ne parle anglais.  
 
Les modes de vie et habitudes nous paraissent incompréhensibles, éloignés qu'ils sont de nos standards européens. Entre les gens qui crachent continuellement dans la rue, les enfants qui font leurs besoins partout avec leur trou dans leur pantalon, les odeurs particulières pour ne pas dire écœurantes qui se dégagent des "bouibouis" de rue... 
Bref il est tant de "s'adapter"!
  
 
 
- Une mère cure les oreilles de son fils avec sa clé puis se cure les oreilles -
- La mode pyjama dans la rue -
 
 
 - Contrôle de sécurité dans les métros - 

 
- les viandes qui sèchent aux fenêtres - Les étalages de viandes sèches au supermarché -
 
  
 
- Shapingba district de nuit (rue commerçante principale à côté de Chongqing Université) -
 
 

- Shapingba district de jour -



vendredi 21 mars 2014

Hong Kong - Day 21 - 22




Nous choisissons de commencer notre deuxième journée sur une touche culturelle et nous nous dirigeons vers le fameux History Museum. Le musée est très complet et nous revivons de façon ludique l’histoire de Hong Kong du néolithique à nos jours. Nous découvrons les évènements qui ont façonnés son paysages et des lieux sont reconstitués pour témoigner de l’évolution des mœurs et des mentalités. (J’ai inscrit mes vœux de réussites et de bonheur pour ma famille et amis sur «l’arbre des souhaits » - Bouddha vous a à la bonne ! ;) )


Nous prenons ensuite le ferry afin de rejoindre la City et nous profitons d’une vue agréable sur les deux côtés de la baie.




Place ensuite à notre trek urbain au milieu des gratte-ciel. La nature n'est jamais loin, et même au cœur du centre financier ultramoderne, nous pouvons voir des faucons et des perroquets. Les rues sont aménagées avec des passerelles surélevées pour les piétons qui permettent de surplomber les routes et de passer d’une tour à l’autre, et des escalators omniprésents permettent d'ignorer le dénivelé.




 
Nous croisons dans le center autant d'occidentaux que d'asiatiques, et il y règne une atmosphère assez impressionnante de dynamisme. Un endroit bien agréable en somme, si l'on admet que tout est tourné vers le luxe et que le système entier, un des plus libéraux au monde, se définit en fonction des mieux lotis.
Explication avec les Mid-levels escalators, les escalators extérieurs les plus longs du monde, qui montent de 10h à minuit vers les quartiers riches des Mid-Levels et change de sens (descendent en somme) de 6h à 10h pour emmener tout ce beau monde travailler dans le centre... Ces escalators traversent notamment le quartier des expats où nous ne comptions même plus le nombre de restaurants français qui nous mettaient l’eau à la bouche !
 

 
Vue depuis le 43èmé étage de la Banque of China:


 
Repulse Bay :



 

mercredi 12 mars 2014

Hong Kong - Day 20



Notre dernière étape, mais pas la moindre : Hong Kong ou « le Port aux Parfums » !

Un petit point météo s’impose ! Oui, nous sommes surprises par le froid qui règne à Hong Kong ! En effet pas facile de subir une chute de température d’environ 30°C en seulement 2h de vol, et de passer d’un ciel bleu radieux à un brouillard intimidant par un ciel grisonnant.

 
 
Mais peu importe, nous voilà arrivées à Hong Kong la flamboyante ! Nous découvrons l’archipel avec une joie non dissimulée à travers les vitres du métro aériens qui nous mène de l’aéroport au centre de la ville. Tel « retour aux sources » nous retrouvons des métros, (bye bye les Tuk-Tuk), des bâtiments modernes et une nourriture variée (oui j’entends par là des restaurants occidentaux) !

La ville est un mélange impressionnant de gratte-ciels parsemés de bâtiments coloniaux et même de petits villages de pêcheurs préservés, de montagnes et de mer.
 


Un petit regret s’immisce lors de notre premier jour alors que nous prenions le télécabine pour Ngong Ping 360° et le Big Bouddha de Po Lin. Nous espérions savourer la vue « splendide » sur les montagnes, la mer et les buildings mais c’est un épais brouillard qui nous accueille, offrant une visibilité extrêmement réduite. 





 



Cependant, nous poursuivons sans nous décourager vers le village de pécheur pittoresque de Tai O, pour y découvrir les nombreuses ruelles piétonnes et baraques sur pilotis.




 
 Nous enchaînons par la promenade de Kowloon qui nous offre un très beau panorama nocturne de la baie et des gratte-ciel de la City puis nous finissons en beauté avec la Symphonie des lumières depuis l’avenue des stars où nous savourons l’illumination en musique d’une quarantaine de buildings des deux côtés de la baie.






mardi 4 mars 2014

Cambodge - Phnom Penh - Day 17 - 18 - 19




Le choc a été assez rude lorsque nous sommes arrivées à Phnom Penh ; En effet nous avons trouvé la capitale sans âme et artificielle comparée aux moments d'authenticité que nous venions de vivre au Mondolkiri. 

Les berges du Mékong montrent un effort d’aménagement mais cet endroit ne dégage aucune émotion et il est quelque peu gâchées par une infini de restaurants occidentaux qui se succèdent en bordure. Cependant le Night Market se démarque tout de même et apporte un peu de vivacité à cette ville avec ses étalages de vêtements, produits en tout genre, les nourritures de rues, et ses concerts d’artistes cambodgiens
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Pour ce qui est du palais royal, il rappelle fortement ceux de Bangkok, influence oblige, mais la touche française fait son apparition avec les nombreux jardins présents. (Et touche française aussi avec l’abondance des boulangeries qui faisaient gronder nos estomacs !)




Enfin c’est lors d’une visite au musée du génocide (Toul Sleng Museum) que nous comprenons un peu le vide qui règne ici. Avant de devenir un centre de détention sous le régime des Khmers rouges en 1975, Toul Sleng était un collège. On y découvre encore les tableaux noirs dans les salles de torture. Le complexe est resté en l’état depuis le départ des Khmers rouge et il comprend des photographies de près de 5 000 victimes, et des témoignages bouleversants.




 
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